Voici d'abord le texte du dialogue qui était mal imprimé sur la photocopie du cours.
46:00
- Yes. I would like to speak to Mr Pollock, please. Euh… Pollock. P- O-L-L-O-C-K.
Yes. I know. It's an emergency. Thank you.
-Allô.
- M. Pollock ?
- Oui.
- C'est Alain Getty.
_________
- Ça va ?
- Oui. Et toi ?
- Ça va.
_________
On sonne à l'interphone.
- Mme Getty ?
- Oui.
- C’est bien vous qui avez trouvé le lemming ?
- Euh... oui.
- Bonjour, je m’appelle Nicolas Chevalier. Spécialiste en micro-mammifères. Mon oncle vous a bien prévenu que je passais ?
- Non.
- Il m'avait dit qu'il vous appellerait. Je ne vous dérange pas ?
- Non.
- Mon oncle avait vu juste. Il s'agit bien d'un lemming, lemming des toundras, plus précisément, Lemus lemus. C'est une femelle. Vous êtes sûre que je ne vous dérange pas ?
- Non, non, pas du tout.
- Mon oncle vous a dit que le lemming des toundras ne vivait que dans l’extrême nord de la Scandinavie ?
- Oui.
- Où l'avez-vous trouvé, précisément ?
- Dans le tuyau d’évacuation de l'évier.
- De l'évier ? C’est ce que m’a dit mon oncle mais je n'étais pas sûr d'avoir bien compris.
Vous pouvez me montrer l'endroit ?
- Oui. Entrez.
C'est ici. Dans le tuyau qui part du siphon. C’est mon mari qui l'a trouvé.
- Et vous n’avez aucune idée d’où il peut venir ?
- Non. Aucune.
- C’est la première fois que j’entends parler d'apparition de lemming en France. C'est fascinant. Il y a forcément une explication.
- Il n’aurait pas pu s’échapper de quelque part ?
- Oui, mais d'où ? Comme animal domestique, ça n’existe pas. Il n’y a aucun institut de recherches qui travaille sur les lemmings en ce moment. Alors d'où sort-il ? Bon. Je vais réfléchir à la question. Excusez-moi de vous avoir déranger. Je vous laisse ma carte... au cas où d'autres lemmings apparaîtraient, on ne sait jamais.
Vous savez que les lemmings font des migrations dont le mystère n'est toujours pas élucidé. Il y a évidemment leur migration saisonnière mais environ tous les ans, il y a une explosion de la population qui provoque une migration massive où des milliers d’individus s’enfoncent dans la toundra sans s’arrêter. Autrefois, on pensait qu’il s’agissait d’une sorte de suicide collectif.
- De suicide ?
- Oui, parce que quand les lemmings arrivent à un cours d'eau ou un lac ou même à la mer qu’il n’y a pas moyen de contourner, ils tentent de le traverser à la nage. Ce sont des bons nageurs mais si le plan d'eau est trop vaste, ils finissent par se noyer.
- Hier soir, une femme s'est suicidée, chez nous.
- Je suis navré. C'était quelqu'un de votre famille ?
- Non. non. Pas du tout. C'est curieux, comme coïncidence.
- Non. Non, non, non, non. N'allez pas imaginer qu'il puisse y avoir un lien. Chez les lemmings, il ne s'agit évidemment pas de suicide, c’est une théorie romantique absurde. Ils se noient par épuisement, c’est tout.
- D’accord. (51:26)
___________________________________
Résumé de l’extrait précédent
1- Ce n’est plus le camion du service des eaux, mais deux ambulances et une voiture de police qui sont garées dans la rue, devant la maison des Getty. On descend le corps d’Alice sur un brancard, dans une housse en plastique. Alain appelle Pollock, dans son hôtel, en Corée. Il est entre 4 et 5 heures du matin, là-bas. C’est ce que la réception de l’hôtel doit lui dire et Alain répond, en anglais, qu’il le sait mais que c’est urgent. On lui passe Pollock.
2- La scène suivante est dans la chambre à coucher. Alain et Bénédicte sont allongés côte à côte. Scène très brève où Bénédicte demande si ça va. Il répond que oui et lui demande, à son tour, si pour elle aussi ça va.
3- Le lendemain matin, Bénédicte descend dans la buanderie avec la couette de la chambre d’amis tachée de sang. Elle l’enfile dans la machine à laver quand on sonne à l’interphone. Elle ouvre la porte du garage. C’est le neveu du vétérinaire qui vient se renseigner sur l’endroit où elle a trouvé le lemming. Il lui raconte que les lemmings vivent au fin fond de la Scandinavie, etc. Bénédicte l’écoute. Elle a l’air absente et il lui demande s’il ne la dérange vraiment pas.
C’est un vrai passionné. Il lui laisse sa carte pour qu’elle puisse le prévenir au cas où d’autres lemmings apparaîtraient. Quand il lui parle du “suicide” des lemmings, Bénédicte lui dit que c’est une coïncidence étrange parce que quelqu’un s’est suicidé dans la maison la veille. Et le chercheur répond qu’il ne faut pas y voir de coïncidence et que l’histoire du suicide des lemmings n’est qu’une théorie romantique absurde.
5e cours (13 octobre)
Résumé de l’extrait précédent (il comporte peut-être des oublis ou des erreurs de chronologie car je l’ai fait de mémoire)
L’extrait qu’on a regardé il y a deux semaine peut se décomposer en trois grandes unités :
1- Le service des eaux est venu. Un camion est garé sur la chaussée en face de leur maison. Bénédicte est sortie, elle s’approche pour regarder. Un ouvrier introduit une caméra dans la canalisation. Un technicien, dans le camion, regarde sur un moniteur les images fournie par la caméra.
Le technicien ressemble à Alain (même profil, même coupe de cheveux). Lui aussi, il manipule une caméra - mais elle va sous terre, alors que celle d’Alain vole.
Bénédicte quitte des yeux l’écran qui montre l’intérieur de la canalisation. La caméra suit son regard : nous découvrons Alice, debout sur le trottoir, devant la porte des Getty.
2- Bénédicte s’approche d’elle et lui demande si elle va bien et si elle veut entrer. Ensemble, elles montent l’escalier de la maison. Bénédicte prépare un café. On entendra les gargouillis du café qui passe pendant une grande partie de la scène. Alice est assise sur le canapé. Elle se renseigne d’abord sur ce que font les ouvriers dans la rue. Puis elle demande à Bénédicte si elle est travaille, et Bénédicte lui explique qu’elle était visiteuse médicale mais qu’elle n’était pas passionnée par son travail. Elle explique en quoi cela consistait : aller démarcher les médecins pour leur présenter les nouveaux médicaments. Alice lui demande si elle ne s’ennuie pas toute la journée. Bénédicte lui répond que non parce qu’ils viennent d’emménager et qu’il y a toujours quelque chose à faire. Alice dit qu’elle a essayé de séduire Alain la veille, mais qu’il a été exemplaire. Elle ajoute que Bénédicte doit déjà le savoir car Alain a dû tout lui raconter. Au visage de Bénédicte, Alice devine qu’Alain ne lui a pas raconté ce qui s’est passé. Bénédicte lui demande simplement si elle veut son café. Le calme et le sang froid de Bénédicte semble étonner ou agacer Alice qui lui demande si elle ne se met jamais en colère, et ce qu’elle fera lorsque son couple ira moins bien. Puis elle déclare qu’elle est fatiguée et qu’elle aimerait s’allonger. Bénédicte la conduit à l’étage dans la chambre d’amis.
3- Alain rentre de son travail. Bénédicte est dans la cuisine. Elle lui dit qu’Alice est passée dans l’après-midi et qu’elle se repose dans la chambre du haut. Alain demande des explications et des détails. Bénédicte ne lui répond que le strict minimum. Finalement elle monte lui proposer de manger un morceau avec eux. Alice refuse, Bénédicte lui propose de lui porter un plateau, Alice devient violente et lui crie “Foutez-moi la paix”. Puis elle s’enferme dans la chambre, à clé. Alain lui propose de lui appeler un taxi. On entend un grand fracas et des bruits de verre cassé. Bénédicte demande à Alain de prévenir Pollock. Alain lui apprend qu’il est parti en Corée. On entend alors un coup de feu qui fait sursauter Bénédicte. Alain enfonce la porte de la chambre : Alice s’est suicidée d’un coup de revolver dans la tempe. Alain descend chercher des secours. Bénédicte s’approche d’Alice, leurs regards se croisent longuement pendant qu’elle expire.
L’extrait qu’on a regardé il y a deux semaine peut se décomposer en trois grandes unités :
1- Le service des eaux est venu. Un camion est garé sur la chaussée en face de leur maison. Bénédicte est sortie, elle s’approche pour regarder. Un ouvrier introduit une caméra dans la canalisation. Un technicien, dans le camion, regarde sur un moniteur les images fournie par la caméra.
Le technicien ressemble à Alain (même profil, même coupe de cheveux). Lui aussi, il manipule une caméra - mais elle va sous terre, alors que celle d’Alain vole.
Bénédicte quitte des yeux l’écran qui montre l’intérieur de la canalisation. La caméra suit son regard : nous découvrons Alice, debout sur le trottoir, devant la porte des Getty.
2- Bénédicte s’approche d’elle et lui demande si elle va bien et si elle veut entrer. Ensemble, elles montent l’escalier de la maison. Bénédicte prépare un café. On entendra les gargouillis du café qui passe pendant une grande partie de la scène. Alice est assise sur le canapé. Elle se renseigne d’abord sur ce que font les ouvriers dans la rue. Puis elle demande à Bénédicte si elle est travaille, et Bénédicte lui explique qu’elle était visiteuse médicale mais qu’elle n’était pas passionnée par son travail. Elle explique en quoi cela consistait : aller démarcher les médecins pour leur présenter les nouveaux médicaments. Alice lui demande si elle ne s’ennuie pas toute la journée. Bénédicte lui répond que non parce qu’ils viennent d’emménager et qu’il y a toujours quelque chose à faire. Alice dit qu’elle a essayé de séduire Alain la veille, mais qu’il a été exemplaire. Elle ajoute que Bénédicte doit déjà le savoir car Alain a dû tout lui raconter. Au visage de Bénédicte, Alice devine qu’Alain ne lui a pas raconté ce qui s’est passé. Bénédicte lui demande simplement si elle veut son café. Le calme et le sang froid de Bénédicte semble étonner ou agacer Alice qui lui demande si elle ne se met jamais en colère, et ce qu’elle fera lorsque son couple ira moins bien. Puis elle déclare qu’elle est fatiguée et qu’elle aimerait s’allonger. Bénédicte la conduit à l’étage dans la chambre d’amis.
3- Alain rentre de son travail. Bénédicte est dans la cuisine. Elle lui dit qu’Alice est passée dans l’après-midi et qu’elle se repose dans la chambre du haut. Alain demande des explications et des détails. Bénédicte ne lui répond que le strict minimum. Finalement elle monte lui proposer de manger un morceau avec eux. Alice refuse, Bénédicte lui propose de lui porter un plateau, Alice devient violente et lui crie “Foutez-moi la paix”. Puis elle s’enferme dans la chambre, à clé. Alain lui propose de lui appeler un taxi. On entend un grand fracas et des bruits de verre cassé. Bénédicte demande à Alain de prévenir Pollock. Alain lui apprend qu’il est parti en Corée. On entend alors un coup de feu qui fait sursauter Bénédicte. Alain enfonce la porte de la chambre : Alice s’est suicidée d’un coup de revolver dans la tempe. Alain descend chercher des secours. Bénédicte s’approche d’Alice, leurs regards se croisent longuement pendant qu’elle expire.
Cours du 6 octobre
Résumé et commentaire de l’extrait du 6 octobre
Alain est resté le soir, tard, pour réparer la webcam qui a été endommagée. On entend des pas dans le couloir, c’est Alice. Elle lui demande si son mari est encore là. Il croit qu’il est déjà parti. Alice entre dans le laboratoire, demande Alain ce qu’il fait, s’il travaille souvent tard le soir. Puis elle demande si Pollock s’est excusé pour la soirée de la veille. Elle dit que son mari est très fort pour s’excuser. Elle demande ensuite s’il lui a dit qu’elle était “un peu spéciale”. Alain ment et dit que non. Alice n’est pas dupe. Puis brusquement, elle lui demande s’il a envie de coucher avec elle. Alain proteste qu’il est marié et qu’il aie sa femme. Alice balaie son argument : il ne s’agit pas mariage, il s’agit de coucher. Alain est comme hypnotisé par elle. Il ne répond que par oui ou par non. Elle approche son visage du sien, longuement. Ils commencent à s’embrasser mais Alain, avec un grand effort, se détache d’elle et refuse d’aller plus loin (c’est presque aussi difficile de s’arracher d’Alice que de dévisser le siphon de l’évier !). Alice regrette la décision d’Alain. Elle ironise : “le corps dit oui, la tête dit non”. Alain reste pantelant, comme s’il avait échappé à une grande épreuve.
Alice lui dit de faire attention à l’odeur du parfum. (implicitement, elle lui dit donc de cacher cette aventure à Bénédicte).
Alain rentre chez lui. Bénédicte est allongée sur le canapé. Elle lui demande s’il a mangé et lui dit qu’il y a des reste dans la frigo. Quand il l’embrasse, en arrivant, elle trouve qu’il sent drôle. Puis elle lui raconte l’histoire du hamster qui est en fait un lemming. Alain a l’esprit ailleurs, il écoute à peine le récit de Bénédicte, qui le lui fait remarquer. Elle lui dit aussi qu’il mange “comme un cochon”.
___________________
Notes et remarques :
- Après le mot “malin” prononcé trois fois dans la première scène, après “la bête”, voici maintenant le mot “cochon”. Le cochon fait partie des animaux qui personnifient le diable. On verra dans la scène suivante qu’Alice dit à Bénédicte : “vous êtes un ange”.
- Les mains d’Alice, toujours bizarres, me font toujours penser à celle de Max Schreck, l’acteur qui interprète le rôle de Nosferatu dans le film de FW Murnau (1922). Lemming serait-il un film de vampire ? Pourrait-on voir en filigrane de Lemming, le Nosferatu de Murnau ?
• Nosferatu est une adaptation sauvage du roman de Bram Stoker, Dracula (1897). Une autre adaptation a étét faite par Werner Herzog (avec Isabelle Adjani en 1979.
• Le vampire est un mort-vivant, quelqu’un entre la vie et la mort (Pollock a essayé de tuer Alice il y a 20 ans).
• Il craint la lumière du jour, il est pâle, habillé de noir (Alice est pâle, elle porte des lunettes noires dans la première scène).
• Le nom de Nosferatu est le comte Orlock (ressemblance avec le nom Pollock).
• Le vampire fascine ses victimes, il prend leur sang en les mordant généralement au cou (ressemblance avec la scène entre Alice et Alain, le soir, dans l’entreprise).
• Dans Nosferatu, il y a un jeune couple. Le jeune homme est envoyé chez le compte Orlock (passivité du jeune homme) et Orlock désire la jeune femme dès qu’il voit son portrait en médaillon (Pollock : j’ai été ravi de la rencontrer). C’est la jeune femme qui est la plus forte.
• Le bateau, qui emmène Orlock, est envahi de rats : “There was rats everywhere” (Nosferatu 1979) / “Il y avait des lemmings partout” (Lemming). (à suivre)
Alain est resté le soir, tard, pour réparer la webcam qui a été endommagée. On entend des pas dans le couloir, c’est Alice. Elle lui demande si son mari est encore là. Il croit qu’il est déjà parti. Alice entre dans le laboratoire, demande Alain ce qu’il fait, s’il travaille souvent tard le soir. Puis elle demande si Pollock s’est excusé pour la soirée de la veille. Elle dit que son mari est très fort pour s’excuser. Elle demande ensuite s’il lui a dit qu’elle était “un peu spéciale”. Alain ment et dit que non. Alice n’est pas dupe. Puis brusquement, elle lui demande s’il a envie de coucher avec elle. Alain proteste qu’il est marié et qu’il aie sa femme. Alice balaie son argument : il ne s’agit pas mariage, il s’agit de coucher. Alain est comme hypnotisé par elle. Il ne répond que par oui ou par non. Elle approche son visage du sien, longuement. Ils commencent à s’embrasser mais Alain, avec un grand effort, se détache d’elle et refuse d’aller plus loin (c’est presque aussi difficile de s’arracher d’Alice que de dévisser le siphon de l’évier !). Alice regrette la décision d’Alain. Elle ironise : “le corps dit oui, la tête dit non”. Alain reste pantelant, comme s’il avait échappé à une grande épreuve.
Alice lui dit de faire attention à l’odeur du parfum. (implicitement, elle lui dit donc de cacher cette aventure à Bénédicte).
Alain rentre chez lui. Bénédicte est allongée sur le canapé. Elle lui demande s’il a mangé et lui dit qu’il y a des reste dans la frigo. Quand il l’embrasse, en arrivant, elle trouve qu’il sent drôle. Puis elle lui raconte l’histoire du hamster qui est en fait un lemming. Alain a l’esprit ailleurs, il écoute à peine le récit de Bénédicte, qui le lui fait remarquer. Elle lui dit aussi qu’il mange “comme un cochon”.
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Notes et remarques :
- Après le mot “malin” prononcé trois fois dans la première scène, après “la bête”, voici maintenant le mot “cochon”. Le cochon fait partie des animaux qui personnifient le diable. On verra dans la scène suivante qu’Alice dit à Bénédicte : “vous êtes un ange”.
- Les mains d’Alice, toujours bizarres, me font toujours penser à celle de Max Schreck, l’acteur qui interprète le rôle de Nosferatu dans le film de FW Murnau (1922). Lemming serait-il un film de vampire ? Pourrait-on voir en filigrane de Lemming, le Nosferatu de Murnau ?
• Nosferatu est une adaptation sauvage du roman de Bram Stoker, Dracula (1897). Une autre adaptation a étét faite par Werner Herzog (avec Isabelle Adjani en 1979.
• Le vampire est un mort-vivant, quelqu’un entre la vie et la mort (Pollock a essayé de tuer Alice il y a 20 ans).
• Il craint la lumière du jour, il est pâle, habillé de noir (Alice est pâle, elle porte des lunettes noires dans la première scène).
• Le nom de Nosferatu est le comte Orlock (ressemblance avec le nom Pollock).
• Le vampire fascine ses victimes, il prend leur sang en les mordant généralement au cou (ressemblance avec la scène entre Alice et Alain, le soir, dans l’entreprise).
• Dans Nosferatu, il y a un jeune couple. Le jeune homme est envoyé chez le compte Orlock (passivité du jeune homme) et Orlock désire la jeune femme dès qu’il voit son portrait en médaillon (Pollock : j’ai été ravi de la rencontrer). C’est la jeune femme qui est la plus forte.
• Le bateau, qui emmène Orlock, est envahi de rats : “There was rats everywhere” (Nosferatu 1979) / “Il y avait des lemmings partout” (Lemming). (à suivre)
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